a ensuite évoqué le problème lié au différentiel de soutien public dans les primes à l'élevage ovin et bovin ramené à l'UGB, précisant que l'agglomération de toutes les aides des premier et deuxième piliers révélait une différence de soutien de l'ordre de 55 euros par UGB de l'ovin par rapport à la vache allaitante. Il a jugé qu'une compensation de ce différentiel, représentant 30 ou 40 millions d'euros, ne constituerait pas une solution suffisant à elle seule. Notant que la France avait conservé une aide partiellement couplée, il a rapporté que la Commission européenne, qui cherchait à atteindre à mi-parcours un découplage total, devrait être combattue à ce titre, de même que plusieurs Etats membres.