a mis l'accent sur les difficultés spécifiques des crises sanitaires qui provoquent des pertes directes liées aux mesures de restriction et des pertes indirectes, pour l'ensemble de la filière, liées à la réaction du marché et à la peur des consommateurs. Les assureurs parviendraient à « gérer » le premier cercle des éleveurs, relativement structuré, mais sont démunis face aux réactions des consommateurs dont les variables psychologiques invalident toute prévision, le système assurantiel ne pouvant répondre à l'ensemble des besoins de la profession.