a indiqué que le ministère continuerait à prendre en charge les jeunes éleveurs pour une période de trois ans, et aiderait également les éleveurs situés dans les zones récemment définies comme vulnérables. A M. Gérard Bailly, rapporteur, qui l'interrogeait sur l'existence d'aides à la mise en marché et au soutien des cours, elle a répondu que ces dispositifs relevant, au sein du ministère en charge de l'agriculture, de la direction générale des politiques économique, européenne et internationale (DGPEI), avaient vu leur nombre diminuer au cours des dernières années.