Le professeur Didier Raoult, lors de l'atelier de prospective, fut, si j'ose dire, l'un des intervenants les plus virulents. Il a souligné qu'on dépense beaucoup d'énergie pour des maladies qui font finalement très peu de morts, comme le SRAS ou le H1N1, et que l'attention des pouvoirs publics devrait se focaliser sur le drame des maladies nosocomiales.