L'avenir pour les risques applicateurs, c'est la robotisation. Déjà des producteurs de Champagne sont intéressés car leurs rangs de vignes sont très étroits. Des robots pourraient être pilotés du haut du champ...
L'absence de toute possibilité de contact avec les pesticides réglerait le risque de contact. Ce serait un gain net. Tous les gains nets doivent être recherchés, d'autant que le matériel agricole coûte cher et la main-d'oeuvre encore davantage.
Il existe, aujourd'hui, des tracteurs couplés entre eux ; c'est déjà le stade industriel du développement de la robotisation. Par ailleurs, les CUMA permettent aux agriculteurs d'acheter du matériel à plusieurs.
Dans le cas des bananeraies, le système de traitement est mutualisé, le passage des avions effectuant un traitement est payé en fonction d'un forfait au kilo de bananes produit dans l'année.
Quand il faut traiter massivement de vastes zones, une flotte d'engins est alors nécessaire.
Enfin, nous vous transmettons les réponses écrites au questionnaire adressé par la mission.