Nous avons un système d'appariement. L'enregistrement des causes de décès n'est pas nominatif.
Vous nous avez posé une question au sujet du volontariat dans la participation aux études, telles qu'Agrican. En France, les données sur la santé sont sensibles et requièrent une autorisation de la CNIL. Généralement, la CNIL nous demande de nous assurer que les personnes ne s'opposent pas à l'accès aux données de santé les concernant. La question du volontariat ne se pose donc pas. Nous ne pouvons pas obliger les personnes à contribuer à des travaux.
Par ailleurs, nous essayons de mettre en place des outils plus généralistes dans le cadre de la surveillance épidémiologique, tels que les cohortes Coset. Nous créons également des outils au titre de la surveillance des expositions, afin de retracer la vie de l'exposition. En effet, les maladies surviennent souvent longtemps après l'exposition.