Des chercheurs de l'INRA et du Centre technique interprofessionnel des fruits et légumes (CETIFL). Le modèle que j'utilise pour lutter contre l'alternaria associe des chercheurs étrangers. Par ailleurs, j'anime un programme national « carottes » auquel travaillent l'INRA, le CETIFL, Agrocampus et deux stations expérimentales, en Basse Normandie et en Aquitaine. Deux ingénieurs de Rennes et Montpellier nous apportent leur concours. Nous sommes aussi en contact avec des équipes polonaise ou allemande. Les recherches avancent vite dans certains domaines, plus lentement dans d'autres, mais le résultat est là : on utilise moins de pesticides qu'auparavant.