Mais on travaille avec les deux formes d'agriculture dans les centres d'expérimentation. Auparavant, nous avions deux pôles séparés puis on a mis tout le monde autour de la même table. C'est logique, on a les mêmes parasites. Les résultats de nos travaux sont partagés. Les bios s'inspirent de ce qui se fait dans le conventionnel et vice versa. Ce qui empêche la généralisation du bio, ce sont des critères économiques : le marché s'effondrerait.