Je me rappelle avoir vu des viticulteurs traiter les vignes avec de l'arsénite de soude en janvier. Surtout, une meilleure formation a accru le niveau de sensibilité au risque. On sait aujourd'hui que le risque ne dépend pas toujours des quantités. Il faut faire la part des pollutions ponctuelles et celle des pollutions diffuses, issues d'un usage normal, strictement respectueux de la règlementation, mais avec des effets pervers sur l'environnement et sur la santé.