Tout ceci est peu rassurant et on constate des zones d'ombre persistantes. Ma première question concerne une certaine contradiction dans le fonctionnement de PSA : comment expliquer le succès de la recherche-développement, dont nous nous félicitons, et, parallèlement, les défaillances de ce groupe en matière commerciale ? J'ai du mal à comprendre ce décalage qu'il convient de réduire. Je m'inquiète aussi pour les sous-traitants de rang deux et trois, qui risquent, disons le tout net, de mourir en silence puisque le débat se focalise sur le groupe PSA. Qui veille au sort de ses sous-traitants ?