On note une médiatisation à outrance sur certains sujets, traités de façon sensationnelle, tranchés sans débat et non par une réflexion scientifique et nuancée.
Comment légiférer sur l'intime, qui relève du particulier, quand la loi ne porte que sur le général ? Comment procéder pour la gestation pour autrui, dans une société qui met en exergue la toute-puissance du désir ?
Enfin, quelle publicité donner à vos avis afin de les inscrire dans le fonctionnement de la démocratie ?