Avec deux ans de plus, la recherche aura eu le temps de proposer des produits alternatifs sains. Les grandes entreprises pourront s'adapter. Pour les PME, ce sera sans doute plus difficile. Je suis fermement convaincue qu'il faut approuver la date du 1er janvier 2015.
Ce texte traite des BPA dans les emballages des produits alimentaires mais pas du matériel médical. Nous déposerons sans doute un amendement en séance sur cette question. Il faudrait aussi interdire tous les perturbateurs endocriniens, dont les phtalates. Nous voterons la proposition de loi, car elle constitue un signal fort.