Si on a le droit en politique de ne pas être d’accord, on a aussi le devoir d’être honnête. La réalité est celle que je viens d’énoncer et, si vous en doutez, je peux vous transmettre l’ensemble des comptes rendus des conseils Affaires générales dans lesquels je siège. Vous pourrez ainsi vérifier que mes propos sont tout à fait conformes à la réalité. D’ailleurs, les sénateurs qui connaissent le mieux ces questions le savent. C’est peut-être la raison pour laquelle vous n’en êtes pas informée.