Il nous faut travailler à deux niveaux essentiels. A l'échelle européenne, car il est ridicule de financer des études redondantes. Au niveau du ministère de la santé, qui doit, lorsque l'alerte est donnée, prendre ses responsabilités, c'est-à-dire considérer les rapports de l'Anses, débloquer les financements nécessaires pour faire face à la situation, organiser la coordination d'un réseau d'action européen.