Aussi, en plein Congrès des maires, monsieur le ministre – vous qui, comme moi aujourd'hui, avez été maire –, vous avez fait le choix – je reprends vos termes – d’« une police municipale puissante afin d’utiliser tous les moyens mis à ma disposition […] ».
Aussi, monsieur le ministre de l’intérieur, je propose que la police municipale, cette police de proximité placée sous l’autorité des maires, soit le plus étroitement possible associée, dans le domaine complémentaire – j’y insiste – qui est le sien, à la réaction de l’État républicain face à la montée de la délinquance et qu’elle dispose en conséquence des moyens de cette politique partenariale.