Je félicite le rapporteur général pour son implication dans ce dossier. Sa conclusion est très simple, et j'espère qu'elle emportera l'unanimité : favoriser l'accession sociale à la propriété est une mission essentielle de l'Etat, aucun argument technique ne saurait s'y opposer. Je veux aussi rendre hommage au président et à Marie-France Beaufils, qui ont présidé la table ronde du 3 octobre, ainsi qu'à nos collègues qui y ont participé. Je me suis senti très mal à l'aise, et je crois que je n'étais pas le seul, face à l'attitude des représentants du Gouvernement, celle du directeur général du Trésor en particulier. Cette réunion a été déterminante et c'est l'honneur de cette commission que de l'avoir organisée.
Il est impossible de conditionner la garantie accordée au CIF à l'extinction pure et simple de ses activités ! Je rappelle que 2 500 personnes sont aujourd'hui en attente d'un déblocage de la situation : la presse ne s'y intéresse pas !