Vous évoquez les contrats de site. Le fait est que les évaluations nous ont amenés à constater que les établissements nouent de plus en plus d'alliances, de partenariats, qui se formalisent dans les Pôles de recherche et d'enseignement supérieur ou par des fusions d'universités. Le ministère veut donc aller vers une approche plus large de la contractualisation, pouvant lier l'État et un groupement d'universités, d'écoles ou d'organismes nationaux. Le CNRS y est très intéressé, car ce type de contrats lui permettrait de développer des stratégies de coopération à grain moins fin qu'aujourd'hui. L'évaluation devra prendre en compte ces stratégies de coopération sur site.