Sur le fond, nous restons hostiles à cette loi de programmation. Les dépenses de l'État continuent à augmenter en volume. Il faudrait qu'elles baissent. Sur les missions, l'ajustement le plus significatif concerne la direction de l'action du Gouvernement, avec une hausse de 40 millions. On passe de 1,08 % à 1,12 % en 2015. N'est-ce pas excessif, alors que cette mission ne correspond pas à une priorité ? Également, pourrions-nous disposer d'un tableau récapitulatif de l'évolution des crédits des missions sur les trois dernières années ? La prospective se fonde sur la rétrospective !