Ne pensez-vous pas que le défaut de dialogue social nuit à l'image de votre groupe ? Comment répondez-vous à cette préoccupation, à la fois à l'intérieur et à l'extérieur du groupe ? Une rencontre comme celle d'aujourd'hui au Sénat ne pourrait-elle pas être un déclic, et conduire toutes les parties prenantes à se mettre autour de la table pour discuter ? L'intersyndicale que nous avons vue tout à l'heure est très inquiète, et a beaucoup communiqué sur ce thème. Vous nous dîtes que vous pratiquez le dialogue social avec ouverture. Où est l'apaisement ? Au Sénat, nous pratiquons beaucoup la sagesse... Nous serions très heureux de vous en communiquer une partie !
Votre groupe fait de gros bénéfices : réjouissons-nous, c'est toujours mieux que l'inverse ! Mais quand on rapproche cette donnée des autres éléments, l'image en ressort ternie... Qu'allez-vous faire ? Il est difficile d'avoir l'image d'un groupe qui tire beaucoup de son activité, mais qui au sein duquel les conflits sociaux sont irrésolus : la crédibilité en pâtit. Quelle est votre stratégie pour améliorer votre image ?
Pouvez-vous m'en dire un peu plus sur le pôle d'excellence que vous voulez faire à Montpellier ? Je suis très sensible à tout ce qui concerne la région que je préside...
Qu'est-ce qui nous garantit votre attachement à la France ? Vous avez mentionné les vingt-six sites que vous avez en France, mais le choix des sites ne peut être dicté seulement par un attachement au pays. En quoi consiste votre attachement fort à la France ?