Je proposais à l'origine que l'on ouvre bien la discussion. La commission des affaires européennes a voulu que l'on soit précurseurs, en faisant de ce produit un début de ressource européenne, qu'on impulse quelque chose qui soit généralisable à la zone euro. Je souscris aux propos de Jean Arthuis : la position nationale que nous adoptons est très restrictive. Dans l'esprit de la commission des affaires européennes, il s'agit de mettre en place un outil avant qu'il ne soit généralisé.