Madame Chiroleu-Assouline, peut-être pourriez vous rebondir sur la question de la place du parc diesel dans le parc automobile global, qui constitue une spécificité française. Je me souviens avoir plaidé pour un certain rééquilibrage dans les années 1990. A cette époque, mon collègue Louis Souvet, sénateur du Doubs, maire de Montbéliard, s'en était fortement ému, soulignant que l'avantage fiscal profitait à des entreprises telle que Peugeot, et que sa suppression aurait un impact fortement négatif sur l'emploi du secteur automobile. C'est toujours le cas aujourd'hui. Comment résoudre ces contradictions selon vous ?