Pour ma part, je peux souscrire à une augmentation de la fiscalité écologique à une triple condition : ne pas inventer « d'usine à gaz » mais en rester à des schémas simples ; aller dans le sens d'une harmonisation européenne ; et compenser cette hausse en définissant précisément les impôts ou charges qu'il conviendrait de diminuer à due concurrence.
A partir de là, il nous faudra veiller à frapper les comportements les plus nuisibles à l'environnement. A cet égard, je ne suis pas sûr que la protection des écosystèmes doive constituer notre première priorité.