Sur les 200 films franco-français, nous en soutenons entre 110 et 115. S'il y en avait vingt ou vingt-cinq de moins par an, cela désengorgerait les salles et le spectateur de cinéma s'y retrouverait mieux. Des problématiques sont à analyser, mais le système actuel, malgré de petits excès qu'il convient de corriger, a pour vertu d'aboutir à la création d'oeuvres artistiques : il vaut d'être défendu et pérennisé. Les enjeux sont économiques : la TVA, le régime de l'intermittence qu'il faudra revoir avant la fin de l'année... Examinons-les sans nous crisper sur des querelles de chapelle... N'oublions pas que la majorité des acteurs sont payés au Smic.