Mais telle est notre réalité quotidienne, chers collègues ! Si mes propos sont aujourd'hui un peu virulents, ce dont je m’excuse, comprenez que de telles situations nous exaspèrent et que les agriculteurs ne comprennent plus toutes ces incohérences !
Tout à l'heure, j’ai regretté que nos collègues aient retiré leur amendement, qui concernait toute la faune sauvage : il faudra bien, un jour, régler le problème.