Les divergences sont en effet très marquées s'agissant des méthodes de prise en charge. Lorsqu'un psychiatre a voulu prendre la parole au cours d'une des tables rondes, il a eu beaucoup de difficulté à s'exprimer face aux protestations des parents présents dans la salle. Ces conflits sont contre-productifs et font perdre du temps à la cause de l'autisme.
C'est pourquoi, je plaide pour un lieu de réflexion et d'échange qui permette à tous de s'exprimer et de s'écouter. Je ferai cette proposition à la ministre, Marie-Arlette Carlotti.
Il me semble tout à fait intéressant de pouvoir suivre la mise en oeuvre du troisième plan autisme. Nous pourrions d'ores et déjà demander à la ministre de venir nous le présenter lorsque celui-ci sera rendu public.