Le choc suscité par l’annonce de la fermeture du site avait été suivi de l’engagement, par Peugeot, d’assurer l’emploi des salariés. Il fallait prendre l’entreprise au mot, et s’occuper avant tout de ces derniers.
Il est vrai, le groupe PSA présentait un gros défaut : celui d’être le premier sur la liste.
Monsieur le ministre, la reconversion des salariés et des sites de production se prête mal à la politique de l’urgence. Elle se prête encore moins bien au spectaculaire. §