Le dépôt de bilan n'était souhaitable pour personne, en particulier pour les salariés. Nous ne pouvons ignorer les responsabilités des uns et des autres. Au moment du départ du groupe Lagardère, les éditeurs ont agi sur les barèmes : un certain nombre de charges, liées au transport par exemple, ne sont ainsi pas prises en compte. Il existe d'autres pistes de ressources que celles qui touchent les salariés : ce sont celles que nous souhaitons étudier. En outre, même si le médiateur a été nommé pour faciliter le dialogue, il n'y a pas eu de rupture entre les syndicats et la direction.