… face aux risques de restructurations, de délocalisations ou de plans sociaux souvent décidés pour des motifs strictement liés à l’exigence pécuniaire d’actionnaires à la recherche de dividendes toujours plus lucratifs. Oui, pour toutes ces raisons, on peut entendre la détresse de ces salariés !
C’est dire que cette proposition de loi exprime aussi une attention politique vis-à-vis de la situation de ceux qui, parfois désemparés, sont contraints de faire entendre leurs voix et leurs inquiétudes par des actions syndicales et revendicatives.
Le Gouvernement va donc suivre très attentivement la discussion des amendements. Pour le vote du texte, il sera très probablement amené à s’en remettre à la sagesse de la Haute Assemblée.