M. Hugues Portelli. D’autre part, nos collègues appartenant à la gauche modérée expriment une position plus nuancée, et je respecte également la manière dont ils s’apprêtent à voter. Le présent texte ne constitue pas moins un alibi face à leur mauvaise conscience. Chers collègues, vous savez pertinemment que ce texte n’allégera pas d’une once les difficultés économiques et sociales de notre pays ! Vous aurez simplement eu le soulagement de vous dire, le temps d’un scrutin : « Je suis toujours du côté de la défunte classe ouvrière