Pour en avoir beaucoup discuté avec les travailleurs sociaux, j'ai estimé qu'il était préférable d'éviter la concomitance entre la décision de retrait de l'enfant et la suspension du versement des allocations. En outre, le délai de trois mois ménage un temps de discussion au cours duquel les parents confrontés à un retrait réagissent parfois rapidement, de façon à récupérer leur enfant.