J’étais dans cet état d’esprit, madame la ministre, lorsque vous avez bien voulu me recevoir au mois de juin, et je vous ai dit que je soutiendrai toutes les mesures qui iraient dans la bonne direction, parce que je considère qu’il faut savoir dépasser les clivages politiques et que l’intérêt général en matière d’aménagement numérique du territoire doit primer sur toute autre considération.
Je dois dire que la manière dont a été examinée la proposition de loi sénatoriale à l’Assemblée nationale le 22 novembre dernier a définitivement sonné le glas de mes illusions !