Une nouvelle loi pour transformer la loi de 1901 me semble très risquée. Il faut la respecter. Notre devoir est de constater les évolutions, les dérives, et il est temps de poursuivre la reconnaissance des divers types d'associations avec des vocations très diverses. Il y a de grandes divergences dans les aspirations du monde associatif. Il faut les identifier. Il y a des effets pervers. On est dans une déviance à risque. Le démembrement de l'action politique est en augmentation. Les collectivités confient des missions de service public sans en retirer le respect dû à l'institution publique. On entend de plus en plus : mais que fait le maire ? Il y a un malentendu entre le bénéficiaire du service et la collectivité habilitée à régler ce service. C'est une dérive. La question se pose de la bonne utilisation des fonds publics et de la bonne perception de l'intérêt général.
J'approuve la valorisation dans les conventions, des subventions, des locaux et des salaires. Il est nécessaire d'avoir une meilleure transparence.