Avec une petite nuance, la télévision sociale telle que nous l'avons présentée aujourd'hui ne se limite pas à l'exception resserrée, c'est-à-dire aux réseaux sociaux.
L'ensemble comprend aussi tout ce qui est mis à disposition, la télévision de rattrapage, les vidéos, etc. D'ailleurs, ces vidéos sont une des ressources importantes attendues. Elles sont un contenu, un matériel audiovisuel mis à disposition. Ainsi, on déborde largement de ce qui relevait du « label poste », c'est-à-dire un courrier envoyé de l'un à l'autre dans le respect de la confidentialité.
En l'espèce, ce sont des contenus audiovisuels et le CSA espère bien qu'un jour le législateur confirmera que le conseil a un peu son mot à dire sur les contenus audiovisuels mis à disposition. Par exemple, pour ce qui concerne les SMAD, services de médias audiovisuels à la demande, qui intègrent déjà tous ces éléments que nous considérons comme appartenant à la télévision sociale, nombreux sont ceux, au CSA, qui pensent que nous avons notre mot à dire.