… l’autre, le MNLA et Kidal.
S’agissant de tel ou tel militaire, je dirai, sans faire de cas particulier, qu’il y a une règle : dans toute démocratie, le pouvoir militaire obéit au pouvoir civil. Et il faut s’en tenir à cette règle.
Concernant Kidal et le MNLA, la situation n’est pas facile, mais elle a existé dans beaucoup de conflits de ce type. Lorsqu’un organisme qui a conservé des armes doit rentrer dans un processus démocratique, il faut faire en sorte qu’un dialogue ait lieu, au cours duquel l’organisme en question puisse mettre bas les armes et, s’il le souhaite, devienne un mouvement politique.