Je souhaite rebondir sur ce qui a été dit. C'est vrai qu'il y a actuellement une remise en question d'un modèle typiquement français où l'exercice du pouvoir se fait lors de repas d'affaires, ou de réunions tard le soir, et c'est important. Je souhaite revenir sur l'organisation de nos grandes institutions : Hortense Archambault a souligné à quel point elles sont enfermées dans un carcan. La notion de label en France est une notion sacro-sainte. Notre ministre a envie de bousculer tout cela. Ce serait important que l'on puisse réfléchir au niveau de la délégation aux droits de femmes et à celui de la commission de la culture - j'en profite pour saluer la présence de notre présidente dans la salle - à des propositions en ce sens. Je crois qu'une ouverture est possible à partir du moment où une brèche dans le formatage de ces institutions et structures apparaît.