Ce que nous venons d'entendre nous laisse en effet « sous le choc », en particulier s'agissant du sort réservé à la génération des chorégraphes des années 1980, les « anciennes ».
Étant sénatrice de Haute-Garonne, la salle de spectacle dont je m'occupe à Blagnac travaille traditionnellement tant avec des jeunes chorégraphes, comme Blanca Li, qu'avec des chorégraphes plus âgées, comme Germaine Acogny. Cette dernière travaille beaucoup au Sénégal et, en vous entendant, je m'aperçois qu'en effet la plupart des danseurs avec lesquels elle travaille sont des hommes.
Vous nous faites prendre conscience d'une situation des femmes dans la danse bien plus catastrophique que ce qu'on aurait pu penser. Que peut-on concrètement faire pour remédier à cette situation ?