Oui, il faut développer la scolarisation des enfants de deux à trois ans dans les zones prioritaires ! Nous passerons plus tard à la deuxième étape. Agissons en gardant à l’esprit l’exigence d’une école maternelle de qualité, selon les règles établies dans le texte qui vous est proposé.
Pour toutes ces raisons, j’émets un avis défavorable sur les amendements n° 190 et 22 rectifié. En revanche, la commission est favorable à l’amendement n° 377 du Gouvernement.