Lance Armstrong avait déjà menti sous serment. Il ne pouvait le faire une seconde fois. Il avait fait ses calculs : après avoir tenté en vain de saisir les plus hautes autorités politiques ou les médias pour nous réduire à néant, il a choisi de se présenter comme un martyre - ce qui a failli marcher ! Il a compris qu'il s'était trompé de stratégie à la lecture de notre décision et des vingt-six témoignages accablants qui l'étayaient.