La stratégie de Lisbonne, qui prône une « économie de la connaissance », repose sur un oxymore, car l'économie est la gestion des ressources rares, alors que les connaissances, infiniment reproductibles et diffusables, ne sont pas contraintes par la rareté.
Il est regrettable que le projet de loi ne corrige pas cette erreur d'approche des instances européennes.