Pierre Mauroy ayant retenu l’appellation « eurométropole » pour désigner le GECT, il fallait nommer autrement la future métropole. Le choix de la commission est judicieux, Lille étant bien une métropole européenne.
Par ailleurs, un contrat triennal « Strasbourg capitale européenne » a été signé entre l’État et l’eurométropole de Strasbourg pour assurer à celle-ci les moyens d’exercer ses fonctions de ville siège d’institutions européennes et internationales. L’État a donc pris un engagement fort à l’égard de Strasbourg, seule ville française, en dehors de Paris, pouvant être le siège d’ambassades étrangères.