L'AEFE doit avoir les moyens de mener une politique immobilière dynamique ; je sais qu'elle bénéficie de toute la sollicitude du sénateur Ferrand.
Effectivement, nous voulons mettre en oeuvre une politique de co-localisation avec nos partenaires européens, notamment allemands : c'est le cas à Dacca. Nous avons des projets à Rio, Séoul, Koweit, Pyongyang... Et au lendemain de l'explosion de Tripoli, notre ambassadeur a demandé à son collègue anglais si une re-localisation était possible dans son périmètre, très sécurisé...
Nous n'entendons fermer aucune ambassade, mais nous voulons en alléger certaines ; treize audits ont été demandés par le ministre. Une des solutions est la co-localisation, soit avec un pays de l'Union européenne, soit avec la délégation de l'Union européenne. Nous y travaillons à Tegulcigalpa, mais je ne sous-estime pas les difficultés de l'opération.