Nous avons deux ans devant nous. C’est un délai suffisant pour mettre en œuvre ce chantier.
Voilà pourquoi la proposition que je formule au sujet de la future métropole me semble tout à fait raisonnable. Son nom restera le même, je le souligne à l’intention de mon éminente collègue Sophie Joissains : Aix – d’abord ! – Marseille-Provence. L’université a déjà été baptisée Aix-Marseille, et cette décision n’a causé aucun drame ; je souligne à cet égard que cette institution résulte de la fusion des trois universités qui existaient à l’origine.
Par ailleurs, toutes les collectivités territoriales concernées participent, aux côtés de l’État, à l’établissement public Euroméditerranée. Comme je l’ai dit hier au Président de la République, c’est un véritable mariage pour tous !