Le deuxième défi auquel nous sommes confrontés, c’est celui de la lutte contre la pauvreté des familles. L’UNICEF a pointé une réalité qui n’est pas à notre honneur : en dépit des prestations financières allouées, un enfant français sur cinq est considéré comme pauvre.
Enfin, nos concitoyens et nos concitoyennes souhaitent le développement de services d’aide à la famille et la mise en œuvre d’une politique volontariste en la matière, afin d’augmenter le nombre de places d’accueil pour les enfants de 0 à 3 ans. Pour votre part, vous aviez supprimé 55 000 places de préscolarisation des enfants de 2 à 3 ans.