Je ne crois pas que c’était impossible !
L’échec de Paris, c’est celui d’un compromis. Le Gouvernement a fait un texte de compromis, et on le lui a reproché au cours de la discussion générale, comme si le compromis était une mauvaise chose. Ce compromis a été rejeté. La grande leçon que j’en tire, c’est qu’il n’y a pas, dans cette double vision régionale ou métropolitaine, de compromis possible en Île-de-France. Le moment est donc venu d’arbitrer.
Le Président de la République a dit à plusieurs reprises qu’il retiendrait le texte de Paris Métropole. À défaut de texte, le Gouvernement nous en a proposé un autre. Il faut maintenant un arbitrage et le porter. Pour ma part, croyez-moi, je porterai cet arbitrage quel qu’il soit, dirais-je presque.
Pour conclure, j’espère que j’aurai toujours les mêmes motifs de satisfaction mais que je n’aurai plus de regret à l’issue de la deuxième lecture.