En 1994, quand on a élargi par la loi le diagnostic préimplantatoire, contre une partie de l'opinion publique, on a d'ailleurs été traité d'irresponsable dans un article du Monde. On a donc craint d'effectuer un pas de plus, voire un pas de trop vers l'eugénisme, en dressant une liste de maladies d'une particulière gravité. Il est possible qu'une telle liste soit mieux acceptée aujourd'hui.