Monsieur le président, je vous remercie de m’accorder cette phrase ultime. Je veux simplement saluer l’effort de tous, y compris de M. Jean-Pierre Michel : il a fait preuve de son sympathique sens de la provocation, mais il aurait pu parler sept ou huit minutes de plus, ce qui aurait peut-être eu pour conséquence d’empêcher l’adoption de ces deux textes !
Je me réjouis, pour ma part, que règne dans cette assemblée un état d’esprit permettant que les textes présentés par nos collègues, quel que soit le groupe auquel ils appartiennent, puissent être votés. Cela me paraît de bonne pratique.