Sur ce plan, cela va laisser des traces, c'est sûr, et il faudra s'y faire. À un professeur de l'École polytechnique qui se montrait réticent et soucieux de défendre les cours en amphi devant cinq cents élèves de première année et de préserver leur caractère « sacré », j'ai rappelé ce qui s'était passé dans le domaine de la téléphonie : chacun peut être pour ou contre le téléphone portable, mais, aujourd'hui, dans la mesure où il n'y a plus de cabine téléphonique, le fait de ne pas en posséder constitue un problème.