Pour le moment, oui, et il faut faire attention. Je suis membre de la commission de l'éducation, de la communication et des affaires culturelles de l'Assemblée parlementaire de la francophonie et, à ce titre, je reçois des informations sur ce qui se passe un peu partout en la matière. Ainsi m'a-t-on cité le cas d'un professeur de l'université de Laval, au Québec qui a monté sa propre opération commerciale sous l'appellation « professeur de Laval » : il n'est pas en procès, mais il est en discussion avec ses autorités qui lui reprochent d'utiliser son titre. De tels litiges vont se multiplier.