L'amendement de notre rapporteure, adopté par notre commission, présente une faiblesse par rapport à la rédaction de l'Assemblée nationale : en supprimant le terme « partiellement », il autorise à nouveau les universités et les grandes écoles à imposer aux francophones de suivre des cours en langues étrangères. L'amendement n° 294 rectifié vise à protéger la diversité linguistique.