Telle est la raison pour laquelle il convient de former différemment ces étudiants et, surtout, de leur laisser la liberté d’installation pour que leur vocation – si elle existe – puisse s’exprimer en fonction de l’expérience acquise lors de leurs études.
De même, il est nécessaire d’ouvrir ce concours en fin de première année à d’autres formations paramédicales, afin de réduire le nombre d’échecs et de valoriser des professions indispensables à la société. C’est pourquoi, mes chers collègues, je vous invite à soutenir les amendements allant en ce sens, qui seront brillamment présentés par Sophie Primas.